La capitale de la douceur existe. C'est une petite île de la Méditerranée. À côté de ses voisines Port-Cros et Porquerolles, l'île du Levant est un endroit où l'on peut vivre nu. Mais seulement sur 5 % du territoire, les 95 % restants étant occupés par l'armée, qui y teste ses missiles...
La douceur a-t-elle encore sa place dans notre monde ? Peut-elle résister à la violence qui nous entoure ? Dans ce décor prédestiné, où le hasard l'a menée, l'héroïne de ce roman ôte bien plus que ses vêtements, elle se met véritablement à nu.
En sept jours, d'une rencontre à l'autre, elle va revivre les moments de son existence où s'est joué son rapport à la violence. Et comprendre que le pouvoir de la douceur est illimité...
Parce qu'elle a trop dit oui sans désir. Parce qu'il arrive, parfois, que le corps se lasse.
Un jour comme un autre, elle a décidé qu'on ne l'aurait plus. Sa vie sexuelle s'arrêterait ici.
Ne plus faire l'amour ? jamais ? Aux yeux de son entourage, l'idée paraît aberrante, ridicule, scandaleuse. Pourtant, elle est heureuse. Que signifie au fond ce soudain refus d'obstacle ? Rien de grave. C'est peut-être même tout le contraire. Et si cette héroïne était la plus sensuelle qui soit, avec son corps retrouvé. Avec la paix de son corps. Puis, un jour comme un autre, la voilà qui revient, silencieuse comme une onde. C'est elle. C'est l'envie. Fulgurante.
Et si tout ce qu'on racontait sur les cheveux blancs était faux ? Et si l'heure de la teinture était révolue ? Et si on sonnait le glas des angoisses et des servitudes ?
C'est en partant de cette intuition que Sophie Fontanel, un soir d'été, décide d'arrêter les colorations et de regarder pousser ses cheveux blancs. Comme elle est écrivain, elle en fait un livre, sorte de journal romancé de ce qu'elle n'hésite pas à appeler une « naissance ».
Les semaines, les mois passent : un panache lui vient sur la tête, à mille lieues des idées préconçues sur les ravages du temps. Elle réalise que l'âge embellit aussi les femmes et que les hommes n'ont pas pour les cheveux blancs l'aversion qu'on supposait. Elle découvre que notre société n'attendait qu'un signal, au fond, pour s'ouvrir à une splendeur inédite, d'une puissance extraordinaire.
Ce roman est une fête. Celle de la liberté.
Inclus un cahier-photos.
En ce jour de réception du prix Nobel de littérature, c'est la raconteuse d'histoires que l'Académie a choisi de couronner en Annette Comte. Et celle-ci en a une, en retour, à leur narrer... Une histoire de rien, une histoire de tout. De chagrin d'amour et de littérature.
C'était en 1972, un été à Saint-Paul-de-Vence. Annette avait 10 ans et Magnus tout autant : blond comme les blés, la peau caramel, un petit Dieu nordique... Pour lui, autour de la piscine, elle a composé ses premiers poèmes. Par lui, elle a goûté l'amertume des premières trahisons. Et trouvé - ces Messieurs de Stockholm le croiront-ils ? - sa vocation.
Et puis un jour, il faut grandir.
Que faire lorsque, l'âge et la dépendance venant, entre une fille et sa mère les rôles s'inversent ? Lorsque, si vulnérable et pourtant si belle, la vieillesse devient une chute irrépressible ? La question, pour la narratrice, ne se pose pas longtemps. Elle a tant reçu, tant d'amour, de cette femme à la peau d'abricot. Il est temps de donner. De se vouer. D'« écrire » sa mère pour refuser sa mort, et la rendre éternelle. Et ce faisant, grandir. Accepter ces cadeaux qu'elle nous tend, les derniers : la tendresse et l'acceptation, sereine, du temps qui passe.
Les temps changent et forcément, entre YouPorn et Tinder d'un côté, Mee too et les réseaux sociaux de l'autre, il y a beaucoup de choses à dire sur l'évolution des moeurs amoureuses. Ou leur non-évolution !
Le sexisme, l'ouverture d'esprit, la pudibonderie, l'orientation sexuelle, les partenaires multiples, le culte de la performance, la quête du plaisir, le goût de l'excès, les mensurations, l'âge, le plaisir, la simulation, le narcissisme, la lassitude, la liberté, l'humour au lit... Sur toutes ces questions, Les fables de la Fontanel apportent leur réponse :
Désopilante, et particulièrement pertinente.
En mettant en fables, et donc en vers, rimes et mots d'esprit quelques travers ou impasses de nos vies sexuelles, Sophie Fontanel englobe tout le monde dans un même rire. Et nous rappelle avec bonheur que la verve des fables, c'est la France, c'est nous, c'est tellement nous ! Le souvenir de La Fontaine, et Molière, mais aussi Audiard, Brassens (« 95 fois sur 100, la femme s'emmerde en baisant »).
Ainsi... C'est la fayote qui rêvait de devenir la reine de pipes ("Le feu et l'allumette"). C'est le garçon dont le pénis n'est jamais raccord avec la situation ("La quille et la fille"). Celui qui craint d'en avoir un trop petit ("La croute et la mie"). Celui qui voudrait soudain calmer le jeu ("La porte et la pause"). C'est le garçon qui n'arrête pas de dire que l'homme est chasseur mais qui a peur d'une abeille ("Adam et la Dame"). C'est la fille qui ne trouve plus sa catégorie sur YouPorn ("Carla et sa catégorie"). Ou celle qu'on trouvait trop jolie pour n'aimer que les filles ("Le nénuphar et la mare").
L'histoire de l'ascension sociale au XXe siècle d'une famille d'émigrants arméniens, par le raffinement et les beaux habits. Deux femmes partagent la même vocation pour la mode : Méline qui a quitté en 1923 son pays à cause des persécutions, et sa petite-fille, Sophie, qui est à la tête d'un des plus grands magazines de mode du monde.
« Une nuit, ça me réveille, la pensée que dans mon cas, l'expression "donnant-donnant" signifie juste que je donne deux fois. » La frilosité de cet homme que Sophie Fontanel a aimé et qui le lui rend si mal annonce le cheminement de l'auteur, auss i intime qu'universel, vers la compréhension de l'amour.
L'histoire d'Arminé et de Claudio Barbaro est celle d'un amour magnifique, hors norme, acharné et peu conventionnel. Peut-on aimer sans se toucher ?
Manuel humoristique, aux 600 entrées, pour ne plus jamais être pris en flagrant délit de mauvaise éducation et se sortir élégamment de chaque situation embarrassante.
Dans un célèbre palace de Deauville, un colloque réunit les plus grands psychanalystes de la planète. Notre héroïne, grand reporter qui ne s'effarouche de rien, accepte de prêter main forte à l'un d'entre eux. Sa tâche est de dérober par n'importe quel moyen le discours d'un des intervenants. Traquée jour et nuit par des psy plus fous et lubriques les uns que les autres, comment pourra-t-elle accomplir sa mission ?
Grand reporter dans un magazine féminin, notre héroïne est sauvagement prise en otage au Moyen-Orient. Tout commence très mal pour cette délurée accusée d'être l'image de la modernité occidentale. Jetée dans un réduit à la merci de sanguinaires terroristes, comment va-t-elle s'en sortir ? Casse-cou, sexy et drôle une héroïne de notre temps. Elle est follement sympathique. Son humour est ravageur. Elle a l'âme d'un James Bond, le langage de San Antonio et la drôlerie des tontons flingueurs. Ses aventures et son vocabulaire jubilatoires déclenchent à chaque page un éclat de rire.
" J'ai passé la soirée avec un type sensationnel, un homme merveilleux, avec une grâce insensée, des manières de léopard, des omoplates divines sur lesquelles il fait reposer le parfait équilibre de son sublime port de tête, une élégance à côté de laquelle le prince Charles est un représentant en coupe-choux " Jeune femme sexy, chic, drôle, imaginative et attachante, Fonelle est une séductrice invétérée. Mais Félicien, un physicien, la bouleverse : elle est amoureuse ! Bianca, Domino, Otto et les autres suivent par mail les rebondissements de son histoire et lui donnent des conseils... plus ou moins judicieux. Mais tant de perfection fera-t-elle fuir Félicien ? Humour, suspense et quiproquos sont les ingrédients de cette histoire d'amour moderne !
Une collection unique, souvent imitée, jamais égalée, qui explore tous les champs du savoir et de la littérature et qui est devenue, en moins de trois décennies, la bibliothèque idéale de l'honnête homme de notre temps. Chez « Bouquins », nous publions aussi bien des dictionnaires d'histoire, de musique ou de littérature que des récits de voyage, des grands classiques de la littérature mondiale ou de l'art de vivre que des portraits de ville ou des textes sacrés. Ils ont été établis par les meilleurs spécialistes et font référence dès leur parution. « Bouquins » s'adresse à tous ceux qui ont la passion de lire et de découvrir, aussi bien à l'étudiant qu'au professeur ou à l'amateur de curiosités, bref à tous ceux qui croient encore qu'un bon livre reste l'un des plus merveilleux compagnons qui nous ait été donné depuis que Gutenberg, avec ses caractères de plomb et d'antimoine, ses moules en métal et ses poinçons, a permis aux textes, parfois tirés de la nuit de l'oubli, de rencontrer en Europe leurs lecteurs par milliers.